
La Ville déploie d’importants moyens humains et matériels pour assurer la propreté de l’espace public. Chaque année, 166 000 d’euros sont consacrés à la propreté. Pourtant, des progrès restent à faire collectivement.
Le service de la propreté urbaine, ce sont 15 agents. Chaque jour, ils sillonnent les rues pour nettoyer les chaussées, les trottoirs et les caniveaux. Au quotidien, ils ramassent les détritus et vident les 242 poubelles. « Nous agissons aussi contre la pollution visuelle en retirant les affiches ou les autocollants publicitaires non autorisés par la commune. De même pour les graffitis aussitôt passés au karcher par les services municipaux », explique Eric Conchon, responsable du service propreté. Une autre partie de leur travail consiste à ramasser les dépôts sauvages, déneiger en période hivernale, désherber au printemps et ramasser les feuilles mortes en automne. Un travail physique qui n’est pas facile et pas toujours bien respecté. Pourtant, ce rôle est essentiel pour maintenir un cadre de vie agréable pour les habitants et rendre la ville plus accueillante pour les visiteurs. « En 2016, nous avons ramassés près de 360 tonnes de déchets sur la commune, poursuit Éric. Et pour la grande majorité de ces déchets, il s’agissait de dépôts sauvages ».
Des moyens techniques au service de la propreté.
Valenton est une ville qui ne cesse de grandir : nouvelles zones industrielles, constructions de nouveaux logements ou encore réaménagement des espaces verts.
Pour nettoyer les 40km de voirie, neufs véhiculent sont à leur disposition. Des voitures de patrouilles à l’aspirateur de voirie, en passant par le karcher ou encore le camion benne et le camion grue, tout est mis en place pour assurer un entretien optimal de la ville. « En 2018 a été acquise une nouvelle balayeuse pour faciliter le passage sur les voies étroites et les trottoirs. La ville fait aussi appel à un service prestataire privé qui s’occupe, toutes les deux semaines, du balayage des rues, et tous les vendredis, de laver la voirie », précise le responsable du service de propreté. Mais n’oublions pas que le bon niveau de propreté d’une ville dépend aussi et avant tout du civisme de chacun.
Quelques chiffres
- 40 kilomètres de voiries à entretenir
- 360 tonnes de déchets ramassés chaque année
- 242 poubelles
- 4 500 euros : le montant de l’amende pour les dépôts sauvages et la présentation de contenants en dehors des jours et heures de collecte.